Accompagner janvier : le sens et l’envie !

Pour beaucoup, la période est spéciale. Puis viennent les nuances, c’est dur, insupportable, injuste, terrifiante, surprenante, incertaine, comme avant. Vraiment ? Quand les temps changent et qu’il y a bel et bien transition, il y a avec cela tout son lot d’inconfort, de chaos, de turbulences, de repères qui s’effondrent ou changent en profondeur. Mais s’ouvre aussi un champ des possibles, des opportunités. C’est le moment où aller en soi, pour y trouver ses valeurs, son ancrage et sa stabilité car ça compte et s’impose, de fait. La patience devient essentielle surtout quand nous ne pouvons pas vraiment anticiper de la durée ni même de l’intensité de cette transition qui s’accompagne de crises multiples tant au niveau personnel que collectif. Le recul est bienvenu quand l’hostilité, les jugements, entraves, voir les bannissements émergent. Garder son centre et y respirer.

Il m’arrive plus souvent qu’avant de me demander : comment aider encore plus, aider mieux, accompagner ce passage si particulier tant je suis en contact avec le moment, les expériences vécues de chacun, les tourments, les désordres mentaux qui vont avec. Plus de jeunes arrivent aussi à moi, des enfants. Des familles et les générations différentes qui vivent à leur façon des ruptures diverses.

Alors que je suis déjà très prise et pourtant si engagée, je me questionne sur le fond, la forme, pour répondre au mieux aux nouveaux besoins et à l’urgence. Il m’arrive aussi de me demander s’il est nécessaire pour cela de s’engager autrement, dénoncer l’inadmissible, dissocier les choses, de poursuivre mine de rien, ne pas ‘en parler’ de cette sacrée crise covid. Ou tourner autour, tu sais comme quand on a une épine, toute petite et qu’on fait tout pour ne pas aller dessus, on évite.  Ou alors, faire simplement avec et en toute et totale lucidité.

Je n’ai pas de réponses toute faite mais j’ai envie de partager que je suis aussi traversée par cette transition, avec autant de résilience que possible, mais aussi avec le sentiment de désolation qui quelquefois me traverse quand je vois ce que je vois, entends ce que j’entends, ressens ce que je ressens en lien avec ce qui se passe.

Je repense aussi à cet ami qui me disait que dès lors qu’on est exposé, de part son activité, ses idées, on va rencontrer des personnes -certes rares mais réelles- qui vont dire que soit l’on en fait pas assez, soit trop, soit qu’on devrait s’y prendre autrement. Je le vérifie aujourd’hui et ça fait parti du chemin tant pour beaucoup avoir un avis s’apparente souvent à juger.

Je sais avec évidence que c’est le moment de renforcer la relation profonde intime avec la vie en soi et autour de soi et que cela est censé, certain, essentiel, garder ce lien aux autres et au vivant.

 

C’est vraiment une période de défi sur le plan de l’intime et de l’intégrité, relié au sens et au goût de vivre. Nos choix comptent.

 

 

 

 

C’est pourquoi par exemple cette année j’ai remis à l’honneur le chant, pour permettre, avec simplicité et complicité, d’être dans l’expression partagée et à l’unisson, dans l’écoute et le plaisir d’être ensemble.

Que j’ai créé les ateliers Korê pour que dansent les vies, les cœurs, les corps, dans l’idée de l’expression libre de soi et de nos vérités authentiques, essentielles et partagées autour d’émotions élevées, de rythmes divers, d’intentions puissantes. Le tout, sans analyse, juste une guidance pour la réjouissance et au passage, librement, libérer, explorer et se sentir vivant.

Et c’est aussi pourquoi je continue à être là, communiquer, livrer des réflexions, contenus, proposer des services sous une forme ou sous une autre. Parce que malgré tout le chaos, il y a cette vie qui est là, à chaque instant et que je sais nécessaire plus que jamais avant d’être à coté de l’un ou l’autre, maintenant.

Quoiqu’on en dise, aucun outil ne nous aidera à traverser. Même si bien sur, ils comptent et font -quand même- la différence à travers la personne qui les portent et proposent.

 

Je crois surtout qu’il nous fait rester ou revenir à l’amour, la foi, l’alignement à des valeurs, l’intuition, le bon sens, la nature, les besoins humains naturels : respirer, toucher et être touché, être en contact, sentir, goûter, créer, oser, se sentir capable. Finalement, ça ressemble au développement de l’enfant, tu ne trouves pas ? Peut-être que là est une clé.

C’est en tout cas le monde auquel je crois et m’applique à contribuer, pour enlever les voiles qu’il y a entre la grandeur de qui tu es, ta beauté, et ce que tu crois de toi, de l’autre, pour que l’amour de toi soit présent et donc l’amour du monde, de t’aimer d’avantage et avec toi tes talents, en contact avec la vie réelle, directe.

En tout cas, avec le début d’année aussi, tout cela me donne envie d’être encore plus claire avec chacun et libre d’être qui je suis et de le proposer avec cet élan à vivre, être la vie. Simplement.

 

 

Alors j’ai un message, oui, ce qui compte pour moi est :

  • d’aider ceux qui le souhaitent à trouver en eux leurs ressources, leurs vérités, leur beauté, aider à avoir la maîtrise de son monde intérieur,
  • débloquer ce qui entrave ou blesse pour avoir accès à son propre pouvoir, avoir accès à sa souveraineté tant sur le plan physique, émotionnel, énergétique et spirituel,
  • d’accompagner les personnes à les moments charnières de leurs vies, pour y devenir humain, intuitif, libre, sincère, spirituel, habité par un puissant désir de réalisation et de contribution, bien vivants,
  • de le faire de façon ludique ou sérieuse, individuelle ou collective,
  • de façon ciblée selon la forme du rendez-vous pris ensemble, quel qu’en soit le support…

 

Pour cela, dès lors que vous êtes arrivé à moi, un cours, un consultation, sur ma liste mail, j’utilise et présente des informations, des outils, des supports, liés tant aux traditions anciennes qu’aux recherches et découvertes scientifiques les plus récentes et majeures en neuro-sciences. Il peut s’agir du yoga, de la psychologie énergétique et spécifiquement l’EFT et les méthodes PEAT, de procédés quantiques, de la méditation. Il peut s’agir d’autres outils, autres courants, différents maîtres, autres chercheurs de vérité, car mon esprit reste ouvert et accueillant.

Mais il est certain qu’il s’agit toujours de permettre et donner les moyens de  revenir à soi, dans sa vie, le monde, de façon libre, autonome et responsable et bien sur, en joie de son existence, engagé à servir sa vie et la vivre dans sa totalité. Finalement il s’agit juste de retirer ce qui sépare de l’amour, de soi, de l’autre, de la vie, de l’univers. Et pour cela, certes les outils ont leurs place, mais il faut aussi être dans l’authenticité, prendre le risque de plaire comme de déplaire, d’être seule ou soutenue. Mon choix est fait.

C’est la totalité de mon être qui est l’œuvre et je suis tout cela à la fois. Je suis à la fois ceci et cela, multiple et unique. La prof de yoga ne peut pas être séparée de celle qui accompagne, celle qui crée, celle qui vit et rêve, celle qui se positionne, décide, et le fait si librement qu’elle n’a qu’une seule règle : que chacun décide pour lui-même, pour sa propre vie sans besoin de le revendiquer.

 

Je rêve d’un jour où les choix se feront dans l’amour de soi et de tout autre.

 

Alors si vous pouvez concevoir que notre nature est l’essentiel, qu’elle se décline en différentes facettes complémentaires et qu’il fait sens de le relier, les tisser, bienvenus dans ma vie et pour la suite du voyage que je vais faire de façon certaine car je suis passionnée par la vie et je vais poursuivre, toujours accompagner, mais aussi développer des enseignements, des partages, des réflexions, d’autres ateliers pour aller plus loin, ensemble.

Dans les prochains mails, articles, audios, il y aura toujours des réflexions, propositions, invitations à ouvrir son esprit, à penser grand ou à l’envers, quelquefois des propositions pour mes services aussi, bref un vrai méli mélo qui est qui je suis, le vis et transmet, dans ma liberté d’être, toujours dans l’axe de mes trois piliers : l’accompagnement, les pratiques et les enseignements.

Tu peux y prendre juste le bout qui t’intéresse ou la totalité, tu peux quelquefois avoir envie de lire ou de zapper, tu peux y revenir par cycle, tu peux aussi choisir de te désinscrire (rappelles-toi tu as toujours en bas de page des mails le lien qui te permets de faire cela toi-même, les mails servent à cela, tout sert à cela : te laisser toujours le choix).

Ce qui compte, c’est la clarté et la liberté de choisir, si le désir est là, si une flamme brille, que ça fait sens. Moi je suis et reste là, pour avancer avec l’envie, le cœur, l’élan pour une contribution partagée à faire grandir le beau ensemble, chacun à sa façon, à son rythme, de façon consentie, c’est à dire en pleine conscience. Toujours plus libre, dans la vérité de l’essentiel, de chercheurs en humanité partageant nos découvertes au plus grand nombre.

Un jour j’ai écrit cela :

« puissions-nous nous réveiller en soi & dans les bras de la vie en même temps »

Pour la vie,

dans l’être et l’humain.

Corinne

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