La socio-thérapie

Au-delà du développement personnel et collectif

Pour le développement de la vie humaine globale :

sociale, citoyenne et responsable

 

Ma vision holistique est de nature personnelle, collective, sociale tout autant qu’universelle et cosmique car l’univers est notre espace de vie.

  • Nous avons à comprendre, d’avoir d’abord à changer le monde à l’intérieur de soi, parce que le travail commence par soi, avec soi, mais qu’il impacte aussi le monde autour, à l’extérieur de soi.

 

  • Nous avons à savoir que nous sommes à la fois un individu, l’humanité et l’univers. Que l’échelle de l’infiniment petit à l’infiniment grand n’est qu’une grille de lecture qui rassemble tout et nous informe en même temps, sur l’individuel comme sur la totalité.

 

  • Mais nous avons aussi à nous savoir et nous sentir inter-dépendant du monde à extérieur de soi. Là, nous pouvons commencer à avoir une influence positive, tant sur le monde que sur nous-même, un effet favorable qui sert la vie, la promeut.

 

 

En résonance

Selon la dimension que l’on observe, par loi de résonance et de correspondance, nous pouvons aller ‘jouer’ à différents octaves de cette réalité. Elle va s’exprimer autrement, car selon le niveau de conscience qui permet de traduire de façon tangible telle information et pas une autre, vous ferez l’expérience de voir ce que vous voyez et croire ce que vous croyez. C’est pourquoi il est toujours essentielle de questionner son regard, son point de vue, l’angle de vue et prendre, comme il est commun et juste de le dire, prendre du recul.

Tout est vrai, et son contraire aussi

J’ancre ma démarche dans la non dualité de la vie humaine, c’est à dire la reconnaissance de différentes vérités, qui ont chacune leur fondement et demandent à être reconnues pour être après, et seulement après, reconduites à une vérité plus large qui ne cherche plus à nier son prochain, l’interdire de penser, c’est à dire nier son existence et tendre à le détruire.

A l’épreuve du réel

Dans la période actuelle, face aux clivages qui s’amplifient, dans le cycle historique du moment, notre monde lui-même en transition et en re-nouvellement, invite plus que jamais avant, à cette nouvelle conscience. Celle où le nouveau doit s’inscrire dans le vrai, une globalité, mais aussi à l’épreuve du réel, que cela nous plaise ou pas, nous réconforte ou pas.

C’est à la fois la porte d’entrée et de sortie, pour vivre ce qui est, faire face aux crises, ruptures, conflits, tensions, crispations actuelles dont la violence, physique, psychologique, émotionnelle, médiatique, sociale, est l’un des visages sans regard qui défigure les vies, tue les rêves et quelques fois des vies, et ce de la conception au grand âge de la vie. D’autres visages souriants, crispés, tendus, confiants, méfiants, effrayés, consternés, sont d’autres expressions du moment. C’est dire si les non-dits en disent longs.

Qu’est-ce qui se passe donc en ce moment?

S’il y a urgence, c’est celle d’ôter tous les masques intérieurs et de sortir de l’idéologie ‘bon/mauvais’ et ‘gentil/méchant’ qui est le signe d’un manque de maturité de notre humanité. Il convient juste de grandir en conscience, en respect, en réciprocité. Car des nouvelles formes de violences qui se montrent au grand jour, à toutes les nouvelles solidarités qui émergent, il est certain que le pire et le meilleur existent et sont aussi vrais et réels l’un que l’autre.

Les faits, la connaissance de la vie, des lois universelles et fondatrices

La « socio-thérapie » est pour moi une invitation à appréhender la vie depuis ce qui est, les faits, la connaissance de la vie, des lois universelles et fondatrices, et non depuis une idéologie, une lutte partisane ou idéalisation ou diabolisation. Elle est pour moi une façon de reconnaître que notre système est souffrant, défaillant, désincarné. Il nécessite un accompagnement holistique, où le corps social, médiatique, politique et spirituel convergent à un sens commun : celui de la vie une et multiple à la fois.

La puissance de la clarté

Comme dans tout accompagnement, rien ne se fait sans établir la clarté, ni faire la vérité sur ce qui est, même si la réalité nous surprend, déplaît, déconcerte, même si on la fuit, la nie, la blâme, la juge.

Selon le principe que tout est relié, il va de soi que rien ne peut tendre à un état collectif et citoyen harmonieux si toutes les partis de l’ensemble s’ignorent, se font le guerre et s’attaquent en permanence. Pire encore, se tiennent sur la défensive, dans le mépris, le déni, le jugement, jusqu’au bannissement même, et maintenant la mort sociale, tant morale, psychologique que physique.

Du survol au vol de la pensée

Vous avez du remarquer aujourd’hui qu’il y a une sorte de censure de la pensée, un interdit à penser hors des cases pré oblitérées. La peur est là, contagieuse avec ce terrible miracle qui fait que tous y adhérent, y croient, même s’ils n’y croient pas vraiment dans le fond.

Retrouver le bon sens

J’ai à cœur de sortir de cette inversion de valeurs et de non sens proche de formes perverses pour que la parole soit liée à la sagesse et non un leurre qui glorifie le déni ou porte un acte de rapport de force, de nouvelles dominations, injonction et limitation à croire en la nouvelle religion de celui qui a la parole liée au pouvoir.

J’invite à sortir des querelles, illusions, faux semblants et diversions multiples, pour enseigner que la vie prime sur tout, qu’elle est de valeur et de sens, pour retrouve la voie de la vie dans la voie de la conscience.

Libre d’être et de s’exprimer : c’est l’absolue sécurité en soi, qui respecte la vie en chacun, en tout et en tous

J’ai à cœur que les générations actuelles et à venir puissent exprimer simplement leurs idées, leur singularité, sans n’avoir rien à revendiquer ni à défendre ni à attaquer.

J’ai à cœur de contribuer à ce qui me semble devoir être dit, fait, pour que la liberté d’expression soit le lieu qui informe d’une réalité de manière à mieux l’appréhender, la voir, la guérir, la tranformer et faire alors ce qu’il convient de faire si nécessaire : agir sur le réel de façon fondée, globale et non depuis un angle, celui qui veut avoir la plus grosse vision, c’est à dire : avoir raison, être le meilleur, le plus fort. Ne serait-il pas temps de quitter les disputes de cours d’école et de hisser notre humanité à grandeur d’âme?

Ne pas avoir avoir peur des désaccords

L’idée est qu’il n’y a pas à avoir tord ou raison, mais accueillir ce qui est, souffrant, malade, vaillant, défaillant, vulnérable, caché, tronqué, amplifié, déformé, manipulé, beau, possible, rêvé, pour alors conduire à donner du sens, de la valeur, pour que l’ordre et l’harmonie règnent dans nos vies, pas seulement sur le plan individuel, mais de transposer cette vision sur le plan collectif.

Promouvoir la vie et soutenir le vivant

J’œuvre à promouvoir ce que je définie comme une thérapie sociale, toute démarche qui permette la résolution et la prévention des violences diverses actuelles, des actes qui abîment la vie et les individus, pour quitter cet état de souffrance sociétale.

Notre société est en dépression

Cela passe par un temps thérapeutique, pour conduire enfin à un temps de libération, guérison, concrétisation : avoir des envies, faire des projets, oser y croire, s’autoriser de grands rêves. Rebâtir ce monde, de la même façon que nous avons pu être amené un jour à avoir à nous reconstruire après un drame, un échec, une perte, une peur, toute épreuve…

Finalement, il s’agit juste de progresser et d’en prendre la responsabilité. C’est l’objet de ma démarche car il m’appartient de faire ce que je peux faire, le proposer, l’initier. Sans me leurrer, face à un temps de chaos majeur, là où certains parlent déjà de guerres civiles, de pénurie, de dictature, de crise financière et de tout autre chose.

Ce que sera l’avenir, je l’ignore

Mais nous avons à le penser, le rêver, le créer, savoir que le pire comme le meilleur sont possibles. Et nous devons nous tenir prêt, choisir là où donner son énergie, son temps, ses ressources et nous préparer à ce à qui on aspire. Pour moi, c’est le meilleur, dans la conscience que le pire reste possible.

A travers l’ensemble de ma démarche et de mes supports, de ma parole à ma plume, de mes pensées à mes actions, je nous y invite et le défi est là : promouvoir la vie, sa valeur, sa beauté, sans occulter l’autre aspect, ce et ceux qui l’entravent. Tout en se rappelant qu’il s’agit d’une partie de sa propre humanité non encore reconnue ni apaisée. En guerre.

Il ne s’agit donc pas de combattre ni de dénoncer. Mais de questionner, d’exprimer librement des interrogations, de proposer des voies de réconciliation, de mettre sa conscience là où la vie passe et nous montre différents aspects de nous-même, toujours à travers elle.

Il s’agit de lire les événements, s’en inspirer, de façon symbolique, métaphysique et holistique. Comment comprendre ce qui se passe, comment éclairer avec justesse et clarté. C’est une invitation à Voir, connaître sa vision, se connaître à travers le monde, savoir quelle réalité est éclairée et nourrit, réaliser où et à quoi est donné notre énergie, ce à quoi on consent, voir depuis un autre point de vue, reconnaître l’ensemble.

Accueillir le réel

Pour cela, il convient bien de revenir à soi comme aux faits, sentir, savoir par le cœur ce qui est juste, pour donner à savoir et donner à recevoir le réel, par soi-même. Il convient de faire, comme pour soi, la clarté, libérer le vrai, honnêtement, pour plus de joie, de beauté, de responsabilité, de respect et du sens sacré du vivant qui nous relie tous….au nom de la vie transmise, reçu de nos anciens, nos lignées et pour nos enfants, nos futurs harmonieux.

Cette résilience là est immense, notre défi est à tous les niveaux de notre existence et de la relation à soi, à l’autre, la vie, tout le vivant, jusqu’au vibrant et au delà : entrer en humanité avec la conscience de l’être et de tous. Quel défi en période de repli sur soi majeur.

Les fondamentaux

Alors, invariablement, simplement, il nous faut commencer par revenir aux fondamentaux : savoir, sentir, vivre ! C’est à dire, savoir ce que je sens, ressens, pense, suis. C’est la voie de l’être qui construit sa propre humanité et se reconnaît dans celle qui, collective, éclot, enfin.

Au delà d’être acteur de sa vie, être l’auteur du monde, d’un monde créatif, être celui qui écrit l’histoire du futur !

Car si avec l’accompagnement personnalisé nous devenons les acteurs conscients de notre vie et destinée, dans la thérapie sociale, nous devons en être les auteurs, en écrire le livre ensemble, le livre de la divine Vie sur cette terre d’accueil.

Ainsi, nous pouvons vivre la présence et le mouvement, à la fois grandir en âge, en conscience, en amour pour le bien de tous.

Cette conscience d’unité,  au cœur même de la vie duelle car humaine, expérientielle, doit être activée parce que la vie globale, inséparable est absolument sacrée, c’est à dire : réelle, vivante, précieuse.

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